Fruit basket : une nouvelle vie ! auteur moi !(bien sur xd)

Auteur: Mia-san(moi !)
Genre: romantique, fantastique… peut-être amour ^^
Disclamer: bon je tiens à préciser comme tout le monde que les personnage de Fruits Basket appartiennent à Natsuki Takaya et donc ne m’appartiennent pas, en revanche mes propre personnages que vous allez découvrir son de mon propre imagination (loas kido ,mia-shan …)et plein d’autres encore !
Note: une chose encore, il est vrai qu’au début ça a l’air long mais vous comprendrez tout de suite que la nouvelle vie concerne surtout Akito… Enfin je ne vais pas en dire plus mais juste le fait que l’histoire se passe juste après la série animée… Enfin, vous verrez bien !

Une nouvelle vie

Chapitre 1: Brèche temporelle :


Dix huit heures passées, Tohru venait de débarrasser la table.

Shiguré : Le repas était délicieux Tohru, comme toujours.
Tohru : Oh mais, ce n’était rien, je veux dire que je fais comme d’habitude.
Kyo : Tu vas arrêter ta comédie.
Shiguré : Ben quoi je voulais juste la féliciter, enfin les garçons, Tohru nous prépare un délicieux repas et vous, vous restez là à vous goinfrer…
Kyo : La ferme !!!
Yuki : Cesse de crier, tu me casses les oreilles.
Kyo : Quoi !!! Viens te battre si tu veux que je m’arrête de crier.
Tohru : Ah, euh, arrêtez voyons. Yuki !!! Kyo !!!
Shiguré : Laisse-les, Tohru. C’est comme d’habitude. Allez, va me préparer un bon thé.
Toruh : Oui, monsieur Shiguré.
Kyo : Tohru, t’es pas obliger de faire ce qu’il dit ! Et toi Shiguré, arrête de l’utiliser …
Shiguré : Mais je ne fais que de lui demander gentiment…
Kyo : Tu appelles ça gentiment !!!
Tohru : Euh Yuki. Mais où allez vous ?
Yuki : Ah, je vais sortir un moment pour digérer, ton repas était vraiment délicieux, ne t’inquiète pas.
Tohru : D’accord (^0^), ne rentre pas trop tard !
Kyo : Eh, mais où tu vas ? Je n’ai pas fini avec toi espèce de lâche !

Et là, Yuki ferma la porte d’un coup sec.
Il resta un moment et il souffla comme si tout le fardeau qu’il sortait jusqu’à maintenant ne s’était pas vidé, c‘est pour cela qu’il profita de cette instant de solitude.





Au même moment dans les rues de Tokyo, une brèche inter-dimensionnelle s’ouvrit de nulle part, on dirait bien un accès à un autre monde, mais le plus bizarre, c’est que quelque chose avait été projeté de cette brèche qui se referma très vite derrière elle. Eh oui cette chose n’était malheureusement pas un monstre, mais une jolie créature (rire) mais rassurez vous elle était humaine mais visiblement effrayée par l’endroit où elle se trouvait, qui lui était complètement inconnu.

Elle était habillée d’un pantalon en jeans et d’un très joli débardeur rose, et se releva avec difficulté. Apparemment tout avait l’air normal, les ruelles lui semblait familier mais elle se sentait bizarre, quelque chose avait du se produire en elle. Elle essaya de marcher mais elle avait du mal à se tenir en équilibre après le voyage qu’elle avait fait. De plus, elle ne savait pas quelle heure il devait être, mais vu que la nuit était déjà tombée, il devait être près de 19 heures. Elle marcha près de deux minutes voyant que ces rues n’en finissaient pas. La peur s’emparait d’elle lorsqu’elle aperçut une petite lueur rouge.

Elle courut en sa direction, espérant trouver de l’aide, quelqu'un pour lui demander ou elle était et comment retourner dans son monde à elle. Manque de chance, elle trouva bien quelqu'un mais qui ne voulait sûrement pas son bonheur. Ils étaient trois : un blond, un rouquin et un brun se tenaient là, près d’un banc public, la lueur rouge que la jeune fille voyait n’était autre que le briquet du brun qui venait d’allumer sa cigarette.

La jeune fille : Au moins, ils pourront peut être m’aider.

Elle se dirigea vers le banc public alors qu’ils étaient encore de dos, avec sa petite voix encore toute tremblante :

« Euh… s’il vous plait,…..monsieur…. Est-ce que vous pouvez me dire où on se trouve exactement, je me suis perdue .
- Tiens, tiens. Mais qu’avons-nous là ? »

Le blond tourna la tête d’un air lasse et malveillant, lorsqu’elle aperçu son visage, elle se sentit vraiment mal à l’aise et se dit qu’elle aurait mieux fait de ne pas leur avoir adressé la parole. Il était trop tard, ils n’étaient pas près de l’oublier.

« Dis moi, tu t’es perdu ?
-…
- Oh, on dirait bien que la petite a perdu sa langue, hein, t’en penses quoi, Carlos ?
- Ouais, on dirait bien que le patron s’intéresserait à ce genre de marchandise… dit-il à voix basse au blondinet.
-Euh, bien, merci de m’avoir aider et au revoir…. »

Carlos la retint brusquement par son épaule, il était deux fois plus grand qu’elle et plutôt baraqué.

« On va t’emmener voir le boss, ne t’inquiète pas, il te donnera beaucoup de plaisir et nous, on aura notre argent qu’on attendait depuis trois mois… Ah, ah, ah !
- Lâchez moi tout de suite, vous n’avez pas le droit ! Je ne vous connais pas !! Mais arrêtez ! Au secours !!
- Tu vas arrêter de crier !! Personne ne t’entend ici, on est seul ! Et tu vas nous suivre bien gentiment sinon…
- Sinon quoi ? Tu vas me lâcher tout de suite
- Ah, mais c’est qu’elle a du courage ! Eh mais, qu’est ce qu’il lui arrive ?
-Tu as vu son regard !? Lâche la tout de suite Carlos ! Elle n’est pas normale ! Regarde ses yeux… sont en argent ! »
En effet, elle flottait à un mètre du sol. Ses cheveux dorés s’étaient détachés et une aura gris bleu flottait autour d’elle, elle était devenue une autre personne…
« Quoi ? C’est pas ça qui va me faire peur, c’est qu’une fillette, elle…
- Vous allez tous payer…
- Quoi… ?! AAAAAAAAAAAHHHHHHHH !!!!!
-CARLOS !! »

Il venait de recevoir une sorte de mal intérieur qui était ressurgi de lui comme une sorte de décharge électrique ; Tom, éberlué, tenta de libérer son compagnon mais il fut expulsé en un clin d’œil. Le dernier, prit de peur, s’enfuit à tout de vitesse pour chercher de l’aide. Elle ne lui laissa pas le moyen lorsqu’elle s’en prit à lui en lui jetant un sortilège, ne lui permettant plus de faire un seul geste.

Carlos se releva péniblement.

« Sale démone, tu… Tu n’es pas une … fille normale. »

Et là, il cracha du sang pendant que l’autre, arrivant par surprise, lui planta un poignard dans les cotes. Elle poussa un cri perçant qui retentit dans tout les environs. A cet instant même, Yuki, effrayé par ce cri de terreur, arriva sur les lieux et vit à cette instant la jeune fille, flottant en l’air, le regard vide et du sang qui dégouliné au bord de ses lèvres. Elle était sur le point de s’effondrer sur le sol lorsque Yuki la rattrapa juste à temps.

*Oh non ! J’espère qu’elle n’est pas…ouf ça va, elle respire encore…*

Yuki regarda autour de lui. Les autres était inconscients mais le plus bizarre, c’est qu’il ne s’était pas transformé alors qu’il la tenait bien entre ses bras. C’est ce qu’il l’effraya, mais la voyant blessée, il n’allait pas la laisser ici. Du coup, il la porta, ce qui était bizarre de porter quelqu’un alors qu’il ne l’avait jamais fait auparavant… Et qu’en penserait les autres… Et si Akito le savait…

*Il vaut mieux que je la ramène à la maison, elle doit absolument être soigner … *





Yuki : Il y a quelqu’un ? … Shiguré !!!
Shiguré : Oh mais qu’est-ce qu’il se passe, on peut pas dormir … hum tient ? Yuki, c’est à cette heure-ci que tu rentres ?
Yuki : Au lieu de discuter, viens plutôt m’ouvrir la porte !

En effet, il devait être plus de minuit passer et comme Shiguré avait un sommeil très léger et un emplois du temps très différent de tout écrivain normal, il était donc tout à fait normal qu’il soit éveillé à cette heure-ci. Shiguré ouvrit la porte et découvrit une créature de toute beauté à ses yeux mais évidemment inconsciente, puis vit enfin Yuki tout dégoulinant de sueur.
Shiguré : Dis moi Yuki, elle est aussi lourde que ça pour que tu es tout en sueur? elle ne devrait pas peser plus lourd qu’une plume…
Yuki : Mais non imbécile, j’ai été poursuivi par des voyous qui lui voulaient du mal à elle, en faisant un signe de tête vers elle.
Shiguré : Eh mais comment se fait-il que tu ne t’es pas transformé… ?
Yuki : Ecoute, elle a perdu beaucoup de sang alors dépêche toi de prévenir Hatori, tout de suite !!
Shiguré : Eh mais t’as vu l’heure qu’il est, il doit être sûrement endormi …
Yuki : Dépêche toi ! Tu veux qu’elle meurt ou quoi !
Shiguré : Bien sur que non, c’est bon, j’y vais !

Pendant que Yuki déposa la jeune demoiselle sur son lit, sur le même coup, il sentit qu’il avait du mal à reprendre sa respiration.

Yuki :*Oh non….huff…sa va pas ….huff recommencer …pas maintenant…*

Tout en ayant du mal à reprendre sa respiration, et il s‘écroula au sol, évanoui.
Lorsque Shiguré entra dans la chambre :

Shiguré : Yuki, tu sais que Hatori n’était pas content lorsque je l’ai réveillé mais bon comme c’est un cas extrême, tu pensais quoi ? Que j’allais vraiment laisser….. !?Yuki ? Oh non !

Il déposa la bassine d’eau sur la table de nuit et vînt prendre le poul de Yuki qui est faible.

Shiguré :*il a du mal à respirer… il faut que je lui ramène ses médicaments, mais où a-t-il pu les mettre ?*

Shiguré fouilla les tiroirs, la première, la deuxième, lorsqu’il tira le troisième, ils étaient là. Il se tourna vers Yuki pour les lui faire avaler :

Shiguré : Allez Yuki, il faut avaler.

Yuki avala faiblement la pilule.

Une sonnette retentit dans toute la maison. Hatori venait d’arriver. Shiguré alla vite l’accueillir. Il descendit les escaliers à une vitesse hallucinante, on n’aurait pas cru ça de sa part. Bien évidemment, nous pouvons penser qu’il est né sous le signe du chien et qu’il a tous les atouts potentiels d’un chien, comme de courir très vite, bon enfin là je m’éloigne un peu trop, non ?

Donc Shiguré ouvrit la porte lorsqu’il vit le visage de Hatori complètement ensommeillé, mais aussi d’une humeur assez massacrante, ce qui est normale à deux heures du matin.
Ce n’est pas très courant d’être réveillé par un coup de téléphone en plein milieu de la nuit, mais bon comme ça à l’air d’une extrême urgence, le voilà.
Shiguré : Hatori ! Que me vaut l’honneur de ta visite ? Et à plus de deux heures du matin !!!
Hatori : Oh arrête de jouer les imbéciles. C’est toi qui m’as appelé, où est le blessé … ?
Shiguré : Ah... Ah, je rectifie, tu devrais dire les blessés …
Hatorie : Comment ça « les » ? Tu m’as dit qu’il n’y …
Shiguré : Bon, suis moi. Elle est dans la chambre de Yuki.





Bon je sais que c’était un peu long, enfin je n’appellerais pas ça long, et je crois même que c’est ce que vous penserez, je pense que j’aurais pu écrire encore, tellement que mon inspiration ne s’arrêterait pas, mais malheureusement, il fallait bien que je termine ce chapitre mais ne vous en faites pas, le prochain arrive bientôt et j’aurais tant de chose a dire. Enfin bref, pour l’instant je vous laisse découvrir par vous-même, ah oui j’allais oublier: n’oublier pas de me laisser un petit commentaire, même si c’est une critique, ça me ferait plaisir(^o^)et je vous donne le titre du prochain chapitre : « un nouveau membre dans la famille des soma »